"Après mon arrêt de travail pour épuisement professionnel, je suis revenue au bureau avec la même organisation, les mêmes enjeux, les mêmes urgences. Très vite, j’ai senti que je glissais à nouveau. La plateforme d’e-coaching m’a offert un espace à part, où je pouvais avancer à mon rythme, réfléchir et prendre du recul grâce aux questions guidées et aux exercices. Le lien avec le Kintsugi m’a beaucoup touchée : accepter mes fragilités, voir mes limites non comme un problème, mais comme un point d’appui pour changer ma manière de travailler. En parallèle, les séances de coaching m’ont aidée à mettre en pratique. J’ai appris à poser des limites, à hiérarchiser, à respirer dans l’urgence. Aujourd’hui, je ne me sens plus submergée. Je fonctionne autrement. Plus stable, plus calme, plus alignée." – Françoise M., Paris

"J’étais constamment à la limite de l’épuisement. Je voulais tout faire, tout bien faire, ne rien rater. Plus je donnais, plus l’entreprise me sollicitait. Et je disais toujours oui. Le e-coaching m’a permis de mettre des mots sur ce mécanisme. À travers les modules et les questions, j’ai compris que cette façon de travailler venait de loin : de ce que j’ai appris enfant, quand “bien faire” était la règle pour être apprécié. Le travail sur la céramique a été un déclic. En voyant les fissures que je devais d’abord accepter, puis souligner, j’ai réalisé que mes limites aussi méritaient d’être vues et respectées. J’ai commencé à poser des cadres, à dire non, à demander des délais réalistes. Et surtout : à ne plus me sentir obligé de porter tout seul ce qui relève de l’équipe. Résultat : je suis toujours impliqué, mais beaucoup moins sous pression. Je travaille mieux, je respire davantage, et je ne culpabilise plus." – Marc G., Massy-Palaiseau 

"Ma carrière avait été parfaitement fluide pendant 20 ans. Toujours dans les premiers de la classe, toujours promue, toujours irréprochable. Je pensais déjà à mon prochain poste. Et quand il a été confié à quelqu’un d’autre, tout s’est effondré. Je n’avais plus envie de rien. J’allais au travail sans énergie, avec un mélange de colère et d’injustice. C’était comme si mon identité entière avait été remise en question. Le e-coaching m’a permis de voir ce que je ne voulais pas admettre : j’avais mis tout mon équilibre sur une seule chose — ma réussite professionnelle. Aucun espace pour autre chose. Le travail sur la céramique a joué un rôle étonnant. Les fissures que je soulignais avec l’or m’ont fait comprendre que mes fragilités n’étaient pas un échec, mais un signal. Focalisée sur la performance, j’avais oublié le reste. Au fil des séances et des exercices, j’ai retrouvé du recul : j’ai recommencé à faire du sport, à revoir des amis, à m’intéresser à d’autres projets que ceux de ma direction. Je travaille toujours avec sérieux, mais je ne mise plus tout sur mon job. Mon équilibre est plus large. Et cette fois, c’est moi qui l’ai choisi." – Pauline L., Villeurbanne

"J’allais travailler sans motivation. Je n'étais pas mal, ni épuisée, juste… plus rien. Je faisais mon boulot, je suivais les procédures, sans aucune autonomie. Je me sentais comme un pion dans une organisation qui ne me voyait pas. J’étais un rouage parmi d'autres pour “faire tourner la machine”. C'est un collègue qui m'a parlé de Kintsugi RH. Je me suis dit : pourquoi pas ? Je n’avais pas l’ambition de tout changer, simplement l’envie de retrouver du plaisir et du sens. Le e-coaching et le travail sur la céramique ont été une découverte. Le geste manuel m’a obligée à m’arrêter, à observer ce que je faisais et… pourquoi je le faisais. En parallèle, la plateforme m’a amenée à questionner mon lien au travail, mes motivations, mes choix professionnels passés. Petit à petit, quelque chose s’est remis en mouvement. J’ai refait mon CV. J’ai postulé à d’autres postes en interne. J’ai été reçue, écoutée, reconnue. Aujourd’hui, je suis toujours dans la même entreprise, mais dans un tout autre rôle, où mes compétences sont utiles et où je me sens vivante à nouveau. C’est le même environnement. Mais plus le même regard." – Caroline G., Rennes